Hello !!
Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemin (si y'a plusieurs chemin, je prend lequel ? /SBAFF/). Je suis en train d'écrire une histoire ... hum ... Non ... L'histoire d'une de mes (futur) perso' (quoi qu'avec la longueur on pourrait en faire une vrai histoire :D), et j'aimerai vos avis ... Pourquoi ? Il est vrai que je n'ai jamais fait sa ... Mais sa s'est l'histoire de mon compte Admin de mon nouveau forum.
Aussi, étant Admin/Créatrice, il n'y aura personne pour me critiquer (quoi que ... Une personne maybe). Donc, j'aimerais avoir des critiques ... Je tiens à cette histoire, mais j'aimerais savoir se que les autres pense de mes présentation, pour une fois.
Si vous ne voulez pas vous prêtez au jeu, tant pis, mais pour une fois que vous pouvez critiquer les longues présentation de votre (voir vos) Admin, qui est votre Admin sur une bonne partie de vos forums ><
Voilà, l'histoire est en cours, mais je veux vos avis ... Absolument.
Bonne lecture 8D
Yumi KURODA / Histoire
Yumi, seule enfant de la famille Kuroda, vivait avec ses parents à quelques kilomètres de la mer. Tout se passait pour le mieux. Mais ce soir là ... Ce soir où la trahison empestait dans la maison ...Yumi, 16 ans, était de sortie avec ses amis. L'occasion était trop belle pour Félicia, la mère de Yumi, qui pris son courage à deux mains et avoua la chose à son mari. Cete chose, fut la pire chose que son mari entendit, les mots, pourtant peu nombreux, que personne ne veut entendre.
Les mots, qui nous frappent en pleins coeur, ses mots, qui séparer ne font rien, mais lorsqu'on les rassemble, pour former la phrase maudite, et bien, lorsque ses mots se rassemble, sa pousse à faire beaucoup de chose, qui peuvent coûter cher ...
Ces mots, cette phrase, ce moment ... Ne se passèrent pas du mieux. Félicia, s'aventura à prononcé cette phrase. Une phrase. Une seule. Il n'en fallu plus à M.Kuroda pour commetre l'irréparable. Lever la main sur sa femme. Celle-ci le trompait, depuis près d'un an, avec un homme qui n'aurait dû naître ...
Sa devait rester secret, pour Yumi. Les deux parents le savait, sans même se l'être dit. Car les insultes étaient la seule conversation qu'ils avaient pour le moment ...
Yumi n'était pas si loin que l'ont pensait.
Dehors, minuit. Trois adolescents traversent la route, devant une voiture. A quelques centimètres elle passa, et manqua de les renverser.
Samiko, Arthur et Yumi. Ils avaient bu. Peut-être un peu trop.
Arthur et Yumi se connaissent depuis un mois, ils sont en couple. Samiko, la meilleure amie de Yumi.
Les cannettes d'alcool à la main, tout trois étaient contre un mur. Ils empestaient. Les passants les évitaient, au lieu de les éloigner l'un de l'autre, se qu'on aurait dû faire il y a longtemps.
Yumi décida de rentrer quand l'horloge sonna une heure. D'un geste de main, elle quitta ceux qui sont chèr à ses yeux, sans se dire que sa pouvait être la dernière fois.
Devant sa maison, elle fouilla dans sa poche à la recherche de sa clé. Se rendant compte qu'elle l'à oublier, elle fait demi-tour. Mais à peine deux empreintes de ses pieds se forment dans la terre fraîche quand un cri se fit entendre. Félicia.
Yumi suivait la scène, à travers la fenêtre la fenêtre. On la devinait facilement, Yumi n'était pas caché. Mais son père ne la voyait pas, trop occupé à injurier sa mère, qui avait la tête dans ses mains.
Les paroles, à peine prononcés, se gravaient en Yumi. Les images suivaient. Son père frappa sa mère, mais Yumi n'intervint pas. Elle avait compris. La scène passait si vite ... Yumi n'avait jamais douter de sa mère. Mais elle ne pensait pas non plus que son père pourrait frapper sa femme jusqu'au sang.
Le sol prenait une couleur rougeatre, le tapis s'en imprégniait, tout comme les habits de sa mère, qui n'était plus blanc, mais rouge et déchirés.
- Yumi ... Tu a oubliée tes clées.Arthur. Derrière elle, la main tendue. Dedans, les clés. Un dernier regard à travers la vitre, qui dura quelques secondes. Pourtant une éternité. Son père remarqua enfin sa fille. Il était temps. Tout deux se regardérent, yeux dans les yeux, sans bouger. Puis il réagit. Se dirigeant vers la porte. Yumi regarda Arthur, les yeux emplis de larmes. Elle marcha, mains dans les poches, jusqu'au portail, qu'elle ne pris pas la peine d'ouvrir et sauta par-dessus.
- Je n'en aurait plus besoin. - Tu ... Tu est prête ? Ce rêve ... Leur projet pourtant vague prenait forme. Ils parlaient de fuir, les deux. Yumi refusait, ne voulant faire subir à ses parents la perte de leur fille. Mais son choix était maintenant fait. Elle ne pourrait plus les voir, elle voulait fuir, oublier cette histoire bien qu'elle était consciente qu'elle ne pourrait pas.
Artur la rejoignit, le sourire plaqué au visage. Il avait bu, mais par miracle ces paroles l'avaient ramenés, conscient.
- Partons. Je veux fuir.Deux ombres disparurent dans la nuit. Une ombre sortait dehors, par la porte de la maison. Un homme. Il criait le nom de << Yumi >> à ne plus pouvoir parler.
~~~
Mais on ne peut fuir à pied. Arthur vivait en foyer, ou dans les familles d'accueil. Il était souvent renvoyé, à cause de plaintes à son égard.
Devant se foyer où il vivait à cette période, un scooter. Celui de la personne qui logeait et nourrissait Arthur. Ils montèrent dessus, le seul casque porté par Yumi.
Le scooter fonça, passant dans les rues à une grande vitesse. Ils partaient. Ils ne reviendraient pas. C'était leur choix. Et uniquement le leur. La mer défilaient sous leur yeux, les mains de Yumi se resseraient sur la taille d'Arthur.
Le scooter filait sur la route. Mais la nuit, on voit mal. Le paysage défilait à toute vitesse, comme dans un rêve ou une bande annonce. Yumi esquissait un sourire, et appuya sa tête sur le dos d'Arthur. Elle l'aimais. Et quand on est jeune, on fait n'importe quoi par amour, même si ces c*nneries vous coutent la vie.
Une route, venant de droite. Un camion y passait, et ayant la priorité, il ne s'arrêta pas. Arthur non plus.
- Attention ! Le camion freina, Arthur essaya de tourner, mais il percuta l'arrière du scooter. Les deux adolescents volèrent sur le bitume.
Arthur se releva, quelques bleux aux cuisses, la tête qui tourne, le scooter fichu, mais rien de grave pour lui.
Il coura vers Yumi, ou plutôt vers son corps ...
Un appel, une fuite, en 2 minutes : une ambulance. Au bruit de la sirène, Arthur dépose un dernier baiser sur les lèvres de Yumi. Avant de fuir...
~~~
Le lendemain, Yumi ouvre les yeux. Elle est dans une salle entierement blanche. Elle à des fils branchés sur elle, un peu partout. Deux trois perfusions, et aucun souvenir ... Un sac qui lui redonne du sang se trouve autour d'elle, elle conte les gouttes ... Un écran affiche des lignes, qui montent et qui descendent. Elle ne se rappele de rien, même pas de son nom.
Ses parents arrivent, elle les ignores. Ils ont l'air heureux de la voir de réveiller. Elle apprend qu'elle était dans le coma, durant une nuit, interminable pour eux disent-ils.
La douleur ne la quitte pas, Yumi ne sent plus ses mains, son dos à l'air brisé, et elle à comme l'impression qu'il y a un trou dans son ventre.
Petit à petit, la mémoir lui reviens. Enfin, elle se souvient de tout, sauf de l'accident ... Avec qui était-elle ? Que c'est-il apssé ? Quand ?
Sa mère lui dit qu'elle était avec un Arthur ... Ils en parlent à la télé, ils montrent son visage avec une belle prime. Ils l'appellent "le monstre". Même si elle ne le connait pas, Yumi prend sa défense. Si elle était avec lui, se n'est pas pour rien. Elle ne veux que le revoir, sortir dehors.
Elle à plusieurs lettres de lui, lui expliquant vaguement ... Chaque jour elle pense à lui. Elle apprend l'histoire. Mais elle ne lui en veut pas. Elle l'attend, elle veux le voir.
Un jour, il viendra, elle en est sur.
Et elle ne s'est pas trompée. La porte s'ouvre. Trois hommes entrent. Deux flics, et lui ... Arthur.
- Yumi ?Sa voix réchauffe Yumi.
- Yumi ? C'est moi, c'est Arthur.Il s'approche, une enveloppe et une clé à la main.
- Yumi, c'est moi. Tu me reconnait ? Ecoute, je dois y aller. J'ai pas le choix.Je vais tout leur raconter, ne t'inquiète pas.Les deux policier le tire, et il à juste le temps de mettre l'enveloppe sous le drap de Yumi, et de lui donner la clé.
En le voyant partir, en entendant ses pas s'éloigner, Yumi souris. Elle n'écoute pas sa mère qui dit tant de mal à son propos. Elle souris. Peut-être parce qu'elle sent à nouveau sa main ? Peut-être car à l'intérieur elle y sent la clé ?
~~~
En attente des commentaires de ceux qui ont tout lu, ceux qui en sont pas mort d'ennui.